« Arthur veut une histoire qui fait peur, Raphaël, très intéressé choisit l’histoire de « La toute petite dame ». A tour de rôle, ils plongent dans le grand couffin de Sylvie et en extrait un livre illustré. Et les images prennent vie. La comédienne montre, mime, chante. Les enfants sont tout ouïe, et ils réagissent, répondent, miment avec tout leur corps, imitent l’appel de la chouette, refusent que le lapin mange des souris, compatissent aux problèmes de l’ourson « Alfred ».
J’ai même pas peur ! s’écrie Alexis devant « Max et les Maximonstres ». C’est fini ? Non ! Pierre Louis réclame encore l’histoire de « Docteur Loup ». Puis les livres regagnent le couffin, Sylvie déploie le voile magique et les petits émergent du monde de l’imaginaire….
…C’est leur vie et leurs préoccupations qu’ils retrouvent là, et qu’ils mettent en scène à leur manière. En jouant, ils s’habituent à reconnaître, choisir, exprimer leurs émotions, anticiper à la suite d’une aventure, en somme à vivre pleinement. »
J’ai même pas peur ! s’écrie Alexis devant « Max et les Maximonstres ». C’est fini ? Non ! Pierre Louis réclame encore l’histoire de « Docteur Loup ». Puis les livres regagnent le couffin, Sylvie déploie le voile magique et les petits émergent du monde de l’imaginaire….
…C’est leur vie et leurs préoccupations qu’ils retrouvent là, et qu’ils mettent en scène à leur manière. En jouant, ils s’habituent à reconnaître, choisir, exprimer leurs émotions, anticiper à la suite d’une aventure, en somme à vivre pleinement. »